Rendons à César ce qui est à César : c'est versac qui a amorcé la discussion, finissant son second billet avec un appel aux économistes, avant d'en remettre un couche le même jour. L'appel aux économistes est entendu, puisque Jean-Édouard de RCE publie une première analyse, alors que la mienne est encore dans les tuyaux (ce qui explique la contradiction entre la chronologie de publication et les dates portées par les billets. Pendant ce temps, Jules s'attaque aux aspects juridiques, d'abord d'un point de vue assez large, puis dans ses aspects plus spécifiquement juridiques. Lundi, c'est au tour de SM de préciser les enjeux du choix de Denis Olivennes, tandis que versac poursuit sur sa lancée, tous ces blogs accueillant des discussions fournies.

À la lecture de tout cela, une chose est sûre : je regrette vraiment de ne pas avoir le temps de me replonger dans la littérature afférente, en particulier voir s'il n'y a pas un chapitre pertinent dans le Handbook of the Economists of the Arts and Culture pour clarifier les idées.