Peut-être que certains d'entre vous se sont posés la question ci-dessus. D'habitude, je n'en disais pas un mot. Pourquoi cette année, où le peu d'activité de ce blog atteste que je me suis (enfin) mis au travail. Eh bien comme tout le monde, je réponds aux incitations, en l'occurrence la proposition de recevoir gratuitement les livres de la sélection (en fait, je n'ai pas tout reçu : il me manque le Delpla et Wyplosz, mais je ne le lirai que s'il est finaliste, Alexandre ayant fait le boulot à ma place, et celui sur la main de l'État dans la croissance américaine), ainsi que de participer à deux débats sur le sujet et de notes de lecture.

L'affaire me semblant intéressante, j'ai dit oui. Il apparaîtra donc prochainement sur ce blog, et peut-être sur le site du Sénat, des billets à ce sujet. Ah, oui : je ne sais pas si les organisateurs du concours acceptent sur leur site les billets incendiaires. Je ne me gênerai cependant pas pour les mettre ici même. Je peux d'ailleurs commencer tout de suite : parmi les ouvrages que j'ai reçus, un seul était sous emballage scellé : La Gratuité, c'est le vol. Peur de l'auteur qu'un lecteur potentiel le feuillette gratuitement dans les rayons ?

PS : J'imagine qu'arrivé à ce point, mon directeur de thèse va commencer à désespérer. Il n'est donc pas impossible qu'une revue de littérature sur le RPM se glisse parmi les notes de lecture.