Cet article souligne un élément absent de mes précédents billets, faute de l'avoir moi-même réalisée : le fait que les taux d'intérêt réels sur les dettes souveraines les mieux notées sont négatifs. L'obligation de détention de ces dettes par les banques agit donc de fait comme une taxe (substantielle) sur les banques ainsi que sur les autres institutions financières soumises au même type de régulation (assurances, mutuelles, etc).

Je serais curieux de savoir ce que donnerait un petit exercice d'estimation de l'incidence fiscale, mesurant le taux de passage de cette taxe aux clients des différentes institutions.