Je suis en train de lire l'ouvrage à charge Happycratie contre, pêle-mêle, la psychologie positive, l'économie du bien-être et le secteur économique du développement personnel (Mindfulness, coachs de vie, etc.). Je ne vais pas faire ici une critique en règle de l'ouvrage (spoiler : la lourdeur du parti-pris idéologique annule ce qu'une analyse proprement sociologique de ce mouvement a d'intéressant), mais l'utiliser comme prétexte pour raconter ce que j'en ai vu lors de mes années dans le secteur privé - témoignage hautement subjectif donc, sans aucune prétention à une quelconque représentativité.