Spécial Salon du livre 2012
Un petit bonus au billet d'hier, qui tendrait à prouver que la tendance n'est pas neuve.
Petit extrait des paroles :
Puis un jour tout devint tranquille On n'entendit plus de java Dans les champs et dans les villes Savez-vous pourquoi? Parce que le Diable s'aperçut Qu'il ne touchait pas de droits d'auteur Tout ça c'était de l'argent de foutu Puisqu'il n'était même pas éditeur Tout ça c'était de l'argent de foutu Puisqu'il n'était même pas éditeur
Publié le dimanche, mars 18 2012, par Mathieu P. dans la catégorie : Réactions - Lien permanent
Commentaires
dimanche, mars 18 2012
21:56
:) ('Connaissais pas... Moi, c'est plutôt Brassens...)
Au fait, merci pour votre billet de vendredi, dont la nature, me semble-t-il, est bien trop rare sur la Toile ou, plus globalement, dans les médias.
— Moggio